Définition cAC - CAR
Figure de style qui consiste en un rapprochement ou une répétition involontaire de syllabes ou de sons désagréables à l’oreille. [Qu’attend-on donc tant ?] Variante : Kakemphaton. Euphonie
Jeu collectif inventé par les surréalistes dans les années 1925 et qui selon la définition du Dictionnaire abrégé du surréalisme « consiste à faire composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu’aunes d’elles puisse tenir compte de la collaboration ou des collaborations précédentes. »
En imprimerie, carré imaginaire de même largeur que le corps du caractère utilisé.
Jeu de mots fondé sur la différence de sens entre des mots de prononciation identique ou rapprochée. [« De deux choses lune, l’autre c’est le soleil. » (Jacques Prévert)]
Mot employé pour la première fois en 1918 par Guillaume Apollinaire pour désigner un poème graphique, c’est-à-dire un poème dont la disposition graphique sur la page forme un dessin. Le mot est né du croisement de deux termes : idéo-gramme et calli-graphie.
Plan schématique de l‘intrigue qui sert de fil conducteur aux acteurs tout au long de leur improvisation.
Également appelée Majuscule. Lettre plus grande que les autres utilisée au début d’une phrase, d’un nom propre ou d’un vers. [Alexandre est arrivé. – Paris, Venise…] bas-de-casse, minuscule.
- Élément d’une écriture ; signe gravé, tracé ou imprimé.
- En imprimerie, petite pièce en métal dont l’empreinte forme un signe imprimé.
Voir Anacyclique
Description satyrique d’une personne en mettant l’accent sur les aspects comiques et déplaisants de sa personnalité ou de son physique.