Définition pAR - PAR

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Parabole (n.f.)

Récit allégorique à valeur morale chargé le plus souvent d’un message religieux.

Paradigme (n.m.)

Ensemble des conjugaisons d’un mot pris comme modèle. [Le verbe Finir est paradigme des verbes du deuxième groupe]

Paradoxe (n.m.)

Opinion qui va à l’encontre de l’opinion communément admise. [Paris est tout petit. C’est là sa vraie grandeur. (Jacques Prévert)]

Paragraphe (n.m.)

Division d’un texte en prose présentant une unité de sens et marquée par un retour à la ligne au début et à la fin. Son symbole en typographie est §.

Paralipse (n.f.)

Figure de rhétorique qui consiste en la rétention par un personnage ou le narrateur d’informations qui seraient utiles au lecteur.

Parallélisme de construction (n.m.)

Voir : Hypozeuxe (n.f.)

Paraphrase (n.f.)

1- Figure de style qui consiste à faire un large développement explicatif sur un thème donné. C’est une forme d’amplification. périphrase

2- Procédé qui consiste à répéter les propos d’un auteur dans d’autres mots.

Parataxe (n.f.)

Figure de style qui consiste en la juxtaposition de phrases et de prépositions sans mots de liaison explicitant le rapport syntaxique ou de coordination qui les unit. [« Les bonnes fondent sur moi ; je leur échappe ; je cours me barricader dans la cave de la maison. » (Chateaubriand)] hypotaxe

Paréchème (n.m.)

Figure de style qui consiste en un rapprochement, côte à côte de syllabes de même sonorité. [« Non, il n’est rien que Nanine n’honore ! » (Voltaire)]. Sorte de paréchèse mais moins esthétique et plus cacophonique.

Paréchèse (n.m.)

Figure de style qui consiste en un rapprochement excessif de syllabes de même sonorité dans des mots rapprochés. [« Il y a tant et tant de temps que je t’attends. » (Barbara)]. Elle est plus esthétique que le paréchème, beaucoup plus anarchique et cacophonique.

Parembole (n.f.)
Parenthèse (n.f.)
  1. Également appelée Parembole. Ajout d’un segment dissocié du reste de la phrase, signalé par des signes graphiques (parenthèses ou virgules) ou non.
  2. Signe typographique employé par paire ( ) qui enferme un élément intercalé dans une phrase. [(ouvrir et fermer la parenthèse.)]
Parhyponoian (n.f.)

Également appelée Paruponoïan. Figure de style par laquelle on termine une phrase ou un membre de phrase par une formule toute autre que celle attendue. [« Je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent. » (Molière, l’Avare)]

Parodie

Travestissement burlesque d’un texte, d’un ouvrage, d’un style…

Paronomase (n.f.)

Figure de style qui consiste à rapprocher deux paronymes. [« Je m'instruis mieux par fuite que par suite (Montaigne) ; Qui vole un œuf, vole un bœuf.  ; Tu parles, Charles ! ]

Paronyme (n.m.)

Sont paronymes, des mots de sens différents mais de forme quasi-semblable. Ils sont presque homonymes. [Accident et incident – Inculper et inculquer – Éminent et imminent]

Participe (n.m.)

Mode impersonnel qui compte trois formes :

  • le participe présent qui se termine en –ant [venant, partant, chantant…]
  • le participe passé [arrivé, fini, bu…]
  • le participe passé composé [ayant terminé, étant venu…]
Paruponoïan (n.f.)
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