Définition TAL - THE

Subdivision d’un texte dramatique marqué par un changement de décor.

Figure de style qui consister à enchaîner des hyperboles à valeur négative, réductrice, péjorative dans un but satyrique. [« Oui! le travail demanderait des comptes au capital, à ce dieu impersonnel, inconnu de l'ouvrier, accroupi quelque part, dans le mystère de son tabernacle, d'où il suçait la vie des meurt-la-faim qui le nourrissaient ! On irait là-bas, on finirait bien par lui voir sa face aux clartés des incendies, on le noierait sous le sang, ce pourceau immonde, cette idole monstrueuse, gorgée de chair humaine ! » (Émile Zola, Germinal)]Auxèse

Se dit d’une phrase ou d’un vers dont tous les mots commencent par la même consonne. Il s’agit d’un cas particulier de l’allitération. [ Didon dîna, dit-on, du dos d’un dodi dindon.]

Figure qui se caractérise par la répétition d’une même idée en termes identiques ou différents qui n’apportent rien de nouveau à la démonstration. [« Quand je danse, je danse ; quand je dors, je dors. » (Montaigne) ; Un sou est un sou ; Les ordres sont les ordres.]. Variantes : truisme, redondance et pléonasme. paradoxe

Permet de situer l’événement dont on parle par rapport au moment où l’on parle. [Il part. – Il est parti.  Il était parti.].  On distingue les temps du présent, du passé et du futur.

Strophe de trois vers.

Un mot se compose de deux parties constitutives : un radical et une terminaison. La terminaison est la partie variable du mot. Cette marque particulière nous renseigne sur la personne, le nombre, le temps, l’aspect, le mode. Dans le cas d’un verbe, on appellera également la terminaison, désinence.

[fatiguées – elles chantaient – déprimant]

Ensemble des termes propres à un domaine, à une science, une technique.

Genre littéraire en vers ou en prose destiné à être joué devant un public.

Idée ou proposition que l’on soutient, défend.