Définition APE - APO
Jeu de mots fondé sur la ressemblance phonique de deux ou plusieurs mots. [Coluche fut en 1981 candidats aux « érections pestidentielles »]
Figure de diction qui consiste à ne pas prononcer un phonème ou un groupe syllabique au début d’un mot. La suppression est généralement marquée à l’écrit par une apostrophe. Forme de métaplasme. [« Y a d’la joie » (Charles Trénet)] Apocope
Sentence qui résume en quelques mots une vérité fondamentale. [« Les absents ont toujours tort de revenir. » (Jules Renard)]
Figure de style qui se caractérise par la suppression d’un phonème à la fin d’un mot. Forme de métaplasme. [De la provoc ; de la pub ; de la com ; un admin…] Aphérèse
Discours ou écrit qui défend une idée, une personne, une action…
Petite fable en prose ou en vers à caractère allégorique et à valeur morale.
Sentence, parole exprimée de manière courte et concise, semblable à une maxime.
Également appelée Réticence. Figure de style qui consiste à rompre subitement l’enchaînement d’une phase pour marquer la renonciation à ce qu’on était sur le point de dire. [« Rends-moi immédiatement cet argent, sinon… »]
- Caractère typographique ‘ qui se place en haut et à droite d’une consonne pour indiquer l’élision du a, e ou i après cette consonne . [L’animal ; qu’elle est belle]
- Figure du discours par laquelle on interpelle sur le ton de l’exclamation un interlocuteur réel ou fictif, présent ou absent, animé ou inanimé. [« Poète, prends ton luth ! » (Alfred de Musset)]