Définition mIR - MOR

Figure de style caractérisée par deux termes identiques ou très proches lexicalement qui sont subordonnés l’un à l’autre. [« Si tant d’hommes rêvaient de Marilyn Monroe, c’est parce que tant d’autres hommes rêvaient de Marilyn Monroe. » (Romain Gary)]. Si en revanche les deux termes sont opposés, on parle de miroir inversé. [« Il n’y a point de mal dont il naisse un bien. » (Voltaire)]. Si le second terme est l’inverse du premier, on parle alors de miroir inversé. [« Il n’y a point de mal dont il ne naisse un bien. » (Zadig, Voltaire)]

Verbes employés comme des auxiliaires mais suivis de l’infinitif et servant à exprimer la modalité. Il s’agit des verbes croire, devoir, pouvoir, savoir, vouloir et leurs synonymes. [Je veux aller danser. – Je peux finir ce travail ce soir.]

Attitude, point de vue du locuteur par rapport à son propos. Il peut être neutre, s’exprimer avec une certaine émotion ou porter un jugement sur ce qu’il énonce. Les marques de modalisation sont variées : interjections, adverbes d’intensités, de comparaison ou de manière, nom ou adjectifs à valeur péjorative ou méliorative, utilisation du conditionnel pour marquer le doute, etc.

Sert à nuancer à travers le verbe l’intention, l’attitude du locuteur. Il existe sept modes. Quatre modes personnels : indicatif, conditionnel, impératif et subjonctif ; deux modes impersonnels : infinitif, participe, gérondif.

Discours qu’un comédien adresse à lui-même. Il devient intérieur quand il est fait en pensée.

Se dit d’un poème qui n’a qu’une seule rime.

Strophe d’un vers.

Vers d’une syllabe.

Au Moyen Age, courte pièce de théâtre en vers, souvent allégorique.

Branche de la linguistique qui étudie les variations de forme que subissent les mots pour jouer leur rôle dans une phrase.